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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
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mercredi 23 mars 2016

Am Rande der Welt - Karl Grune -1927



Non loin de la mer, se trouve un beau et vieux moulin dont les ailes tournent encore. A l'intérieur vit une famille composée du père et de la mère, de leur trois enfants et leur belle-fille, Magda, Michael et John et de sa femme. Tous travaillent dur pour produire la farine qui permettra de faire les pains qui nourriront les habitants de la région.

Un jour se présente à la porte un étranger en quête de travail. La famille l'accueille sans savoir que l'homme est un espion chargé de surveiller les lignes voisines ennemies car la guerre semble se profiler. L'étranger ne tarde pas à tomber amoureux de Magda et de son côté la femme de John annonce un heureux évènement à venir.

Bientôt le moulin fête ses 300 ans d'existence. Pour fêter dignement ces années de labeur et pour témoigner de leur respect pour la vieille bâtisse, une grande fête est organisée. La minoterie est bien décorée, les habitants précédés de la fanfare arrivent, des carrousels sont installés à proximité.
Alors que la fête bat son plein, la guerre est déclarée et les ténèbres s'abattent sur tout ce petit monde. La mort exhorte les troupes à se battre, armés de leurs fusils les hommes déferlent par vagues sous les coups de canons.
Les ennemis s'emparent du moulin en utilisant comme levier leurs baïonnettes pour forcer la porte. Comme Michael refuse de se lever les soldats l'emmènent pour être jugé par le conseil de guerre. Un Lieutenant tombe sous le charme de Magda et un Capitaine décide de s'emparer de la jeune fille par la contrainte ...

https://mubi.com/films/the-edge-of-the-world-1927

Film en 6 actes dont le début est un peu long à se mettre en place malgré les belles images et l'atmosphère particulière qui enveloppe le film. Toute l'action se passe dans, ou autour du moulin.

En gros les 45 premières minutes (jusqu'au 3e acte) nous montrent un monde idyllique peuplé par des gens travailleurs, simples et bons. Dès le 3e acte la guerre est déclarée et les ennemis affluent. L'action devient tendue, on commence à stresser pour les protagonistes qui sont percutés de plein fouet par le souffle de la violence et la cruauté des hommes qui envahissent leur petit paradis. Pourtant très vite se détachent les caractères : on peut être bon et ennemi, être un traitre à sa patrie tout en ayant l'air bon, être mauvais et ennemi, ... ou innocent.

Les images sont superbes, le choc entre les tranchées et la douceur de la  maison contrastent fortement. Quasiment tout le film est tourné dans la pénombre et la lumière est parfaitement maitrisée. Les gros plans subliment les visages, les plans du moulin donnent envie de le retrouver tant cet endroit a l'air a l'air calme et serein. Les décors et l'ameublement, quoique très simples sont magnifiques. Bref, l’esthétisme visuel est époustouflant et les images symboliques fortes.




La fin est très mystique. Les deux hommes aménagent un endroit qui ressemble presque à une coin d'étable où la femme met au monde un garçon. La mère, dont l'aspect est proche d'une madone déclare d'un air tragique que son fils deviendra à son tour un homme qui tuera d'autres hommes. Ce à quoi répond le père "Non il construira des moulins" !

Lorsque leur maison est consumée, il ne reste qu'une croix formée par les ailes du moulin presque intactes. A cette vision le père cite Jésus : "Pardonne leur Seigneur car ils ne savent pas ce qu'ils font".

Albert Steinrück m'a tiré des larmes à la fin. Ses regards sont tellement parlants qu'il est difficile de rester insensible face à sa douleur, son impuissance et sa détresse.

Grune aurait essayé de faire retirer son nom du générique et a ouvertement critiqué la mutilation de son film dans une lettre ouverte car l'Universum Film AG, ensuite UFA GmbH, en abrégé « UFA aurait gaillardement coupé dans les images.

Max Schreck se montre sous les traits d'un homme inquiétant. Vous l'avez déjà vu car il est particulièrement connu pour son rôle de Nosferatu dans le film de F.W. Murnau tourné en 1922.

Titre français : Au bout du monde (j'aurais appelé le film "Aux confins du monde" personnellement)

On peut voir ce film ici

104 minutes


Albert Steinrück ...
Der Mueller
William Dieterle ...
John (as Wilhelm Dieterle)
Brigitte Helm ...
Magda
Victor Janson ...
Hauptmann (Capitaine)
Jean Bradin ...
Leutnant
Imre Ráday ...
Geselle
Max Schreck ...
Troedler
Camilla von Hollay ...
Johns Frau
Erwin Faber ...
Stranger
Georg John
Fee Malten ...
(as Felicitas Malten)

Jean Bradin (30 mai 1899 – 7 Octobre 1969, acteur français)

mardi 22 mai 2012

Backstairs - Leopold Jessner / Paul Leni - 1921



Henny Porten ...
Das Dienstmädchen
Fritz Kortner ...
Der Postbote
William Dieterle ...
Der Handwerker (as Wilhelm Dieterle)


50 minutes
Titre français : Escaliers de service
Titre original : Hintertreppe

A Berlin dans l'arrière cour d'un immeuble un escalier mène à la mansarde d'une femme de chambre. A la nuit tombée elle retrouve son amoureux avant de fermer les portes de la cour. Un soir l'amoureux ne revient pas. Commencent alors le questionnement et l'attente  ponctués par les visites du facteur porteur d'espoir, un homme boiteux dont l'une des mains est sérieusement handicapée. Secrètement amoureux de la femme de chambre, le facteur devant son désespoir finit par lui faire parvenir une lettre qu'il écrite lui-même. Aussitôt la femme de chambre se sent revivre ...



Je reste sans voix devant ce film qui ne comprend aucun intertitre. Ceux-ci n'auraient d'ailleurs aucune utilité car nous pénétrons dans les personnages avec une facilité presque déconcertante tant leurs expressions expriment ce qu'ils ressentent.
Au premier jour nous assistons au réveil de la femme de chambre dans une chambrette déjà illuminée par la lumière. Il est 6 heures, elle ouvre les yeux, regarde le réveil et le retarde de 5 minutes qu'elle met à profit pour se rendormir (je fais pareil, sauf que j'avance mon réveil !) on comprend alors le bonheur tout simple de cette femme qui s'autorise quelques minutes supplémentaires de sommeil. Elle vaque à ses occupations, heureuse et dynamique. Elle se sent aimée, elle vit le soir dans les bras de son aimé. Arrive la nuit suivante mais personne ne vient au rendez-vous, elle ne comprend pas et ses gestes ralentissent déjà, une nuit de plus et toujours personne : la femme dynamique se métamorphose lentement, pour devenir petit à petit une ombre d'elle-même qui fonctionne au ralenti. Chaque jour le facteur se présente et elle ouvre la porte à son coup de sonnette, prend le courrier mais aucune lettre de l'aimé ne lui est adressée.
Mais un jour le facteur qui n'a pas le courage de la regarder mais qui meurt d'amour sans espoir d'être aimé en retour ni même d'avoir la moindre chance d'être même reconnu par la jeune femme lui tend une lettre. La femme de chambre s'illumine en lisant les mots "ma bien aimée, je t'aime, je devais m'éloigner mais je me languis de toi", elle reprend aussitôt goût à la vie, se permet même un geste tendre envers le postier qui en est aussitôt illuminé.
De grandes réceptions sont données dans l'appartement et la femme de chambre fait le service avec entrain. Elle garde un pichet de vin qu'elle va apporter au facteur pour qu'il puisse partager sa joie mais ô surprise celui-ci est en train d'écrire et la femme de chambre comprend tout à coup que le mot de son aimé a été écrit par cet homme éclopé. Elle saisit surtout que cet homme l'a fait par amour et ne lui en veut pas. Petit à petit les deux solitudes se rejoignent et se mettent à vivre, le facteur transforme son taudis en petit habitat soigné et cuisine avec amour pour la femme de chambre. Je me suis surprise à me dire qu'il ne fallait pas que l'amoureux revienne, que ce ne serait pas juste tant ils ont l'air heureux et en effet la chance est avec eux car il ne revient pas.
Mais le destin finit par rattraper la femme de chambre qui aperçoit l'ombre des jambes de son amour qui fait les 100 pas dans la cour et c'est le coup d'assommoir : il ne comprend pas qu'elle sorte de la chambrette du facteur qui de son côté reste paralysé dans son mouvement, le pichet en équilibre précaire à la main. Et c'est le drame ....

Impossible de décrire la finesse des sentiments qui enveloppe les deux personnages principaux. Henny Porten est une femme au visage magnifique. Ses expressions sont tellement justes qu'il n'y a pas d'équivoque possible. Fritz Kortner a le rôle ingrat du facteur, son humilité ne semble pas feinte, son épanouissement fait plaisir à voir et on se prend à espérer que le bonheur le rattrape enfin après une vie qui semble être passée en marge ou dans l'ombre. William Dieterle encore tout jeune n'apparait que quelques minutes dans le film.

Le film termine dans la tragédie, en effet on comprend que le facteur a voulu s'approprier par la force une part de lumière en interférant dans les messages des deux amoureux qu'il intercepte et échange. Comprenant la terrible supercherie la femme de chambre est déchirée et son amant, compatissant et compréhensif, se montre presque tendre avec le facteur mais ce geste de tendresse est de trop pour un homme qui n'a jamais rien eu, n'a rien et n'aura rien au final. L'amour et ses effets, le mal être sans l'amour ...

Le scénario, les acteurs, les images et la musique de l'édition Grapevine sont juste parfaits. Quelques scènes vous restent en tête par leur grande simplicité et leur très grande force de suggestion, il m'a été impossible de rester indifférente face à ces deux acteurs magnifiques et émouvants.

Ce film se trouve dans Ladies of the German Cinema avec le film Sappho (Grapevine Video).

Ce genre de film intimiste et minimaliste appelé Kammerspiel était en vogue en Allemagne dans les années 20. On trouve davantage d'explications sous http://fr.wikipedia.org/wiki/Kammerspiel






dimanche 19 février 2012

Geschlecht in Fesseln - William Dieterle - 1928


William Dieterle ...
Franz Sommer (as Wilhelm Dieterle)
Gunnar Tolnæs ...
Fabrikant Rudolf Steinau
Mary Johnson ...
Helene - Sommers Frau
Paul Henckels ...
Helenes Vater - der Geheimrat
Hans Heinrich von Twardowski ...
Alfred
Gerd Briese ...
Der Staatsanwalt
Hugo Werner-Kahle ...
Der Abgeordnete
Carl Goetz ...
Strafgefangener #1 (as Karl Goetz)
Friedrich Kurth ...
Strafgefangener #2
Arthur Duarte ...
Strafgefangener 3

107 minutes
 Titre anglais : Sex in Chains
Titre français :  Sexes enchaînés

La crise économique, à Berlin. Franz Sommer (Dieterle) cherche du travail pendant que sa femme Helene (Johnson) fait tout ce qui est en son pouvoir pour garder les apparences d'un couple qui vit sans souci surtout auprès de son père. Franz finit par dégotter un job de démonstrateur d'aspirateurs en faisant du porte à porte, il est payé au lance pierre à la commission. Helene se résout à travailler le soir en vendant des cigarettes dans un café. Un soir un client l'importune et au cours de l'altercation Franz repousse le client qui s'assomme en tombant. Franz est emmené dans un centre de détention. Durant les quelques jours avant le jugement il fait la connaissance d'un autre détenu Steinau (Tolnæs) avec lequel il sympathise. Celui-ci est relâché et promet de s'occuper d'Helene à laquelle il propose du travail. Peut de temps après Franz est condamné à trois ans de prison car le client blessé est finalement décédé, il est transféré en prison et découvre ses codétenus et la cellule...



 Un film courageux qui traite du manque de relations - sexuelles principalement - durant la détention en général. Le sujet est bien traité avec énormément de délicatesse et des images très parlantes. Le scénario est tiré d'un livre écrit par Franz Höllering, un homme qui a vécu lui-même cette situation semble-t-il. Plusieurs choses interpellent : la première c'est que la cellule n'est pas aussi horrible qu'on aurait pu se l'imaginer. Une fenêtre peut s'ouvrir, des dessins au pochoir ornent les murs, les lits sont corrects et les prisonniers s'occupent à créer des animaux de bois. Certains prisonniers s'en sortent plutôt bien grâce à leur imagination, d'autre ne peuvent concevoir vivre sans les bras de leur aimée et pètent un câble.
Le film est particulièrement notable car il aborde la question de l'homosexualité par petites touches sensibles dès l'arrivée d'un prisonnier gay (mais qui n'a aucun des comportements caricaturés habituellement) ce qui va permettre à Franz d'ouvrir une porte en empêchant la frustration de le détruire. Franz trouve donc en Alfred une raison de vivre, ou au moins de survivre (une scène étonnante : pendant le prêche d'un pasteur du haut de sa chaire, les prisonniers écoutent plus ou moins, certains visiblement indifférents, d'autres intéressés, pendant qu'Alfred écrit leurs noms, Alfred et Franz entourés d'un trait de plume sur son livre de cantiques et lui le montre ...)
Pendant que Franz est emprisonné Helene travaille chez Steinau qui tombe amoureux d'elle mais jamais ne lui fait d'avances car il la respecte trop ainsi que Franz. Lorsqu'Helene désespérée par l'image de Franz qu'elle voit partout et qu'elle ne sait comment affronter un soir le retrouve, on comprend qu'elle et Steinau passent la nuit ensemble.
J'avoue avoir été surprise par la fin : j'imaginais qu'Helene et Franz restaient fidèles par respect et honneur et qu'une fois face à face et confrontés à eux-mêmes, ils auraient une chance de retrouver une nouvelle vie ou de reprendre leur ancienne vie. Or ce n'est pas le cas. Le réalisateur nous montre que ces voies ne sont pas prises en compte et préfère une solution drastique sans compromis.

Tous les acteurs sont excellents mais j'avoue avoir eu un faible pour Gunnar Tolnæs, un acteur norvégien qui se montre d'une grande sobriété avec un jeu d'une grande finesse.

J'ai trouvé ce film touchant par certains côtés, par ailleurs il est parfois trop esthétique (soigné ou travaillé ?)  ce qui le rend presque un peu artificiel (sans que cela ne nuise vraiment au fond abordé). Le final ne laisse aucun doute sur le drame que vivent tous les protagonistes car personne ne sort indemne : Steinau reste malheureux après avoir pensé recommencer une nouvelle vie avec Helene, Alfred se retrouve seul et triste, Franz et Helene se suicident au gaz ...
Ce film n'a donc rien d'un film gay car le message final démontre qu'on ne peut vivre isolés loin de ceux qu'on aime (égale l'appartenance) surtout si l'on est un jeune couple tel celui qui nous est présenté. D'autre part le suicide final indique plutôt une auto condamnation commune aux deux protagonistes qui ne peuvent vivre en sachant qu'ils ont dévié d'une course qu'ils croyaient tous deux pouvoir poursuivre en décidant de vivre en commun. Il y a donc aussi une notion de manque d'adaptation, bien sûr liée au temps et à l'époque où toute déviance était fortement condamnée par l'opinion publique. Donc on peut on conclure qu'il s'agit principalement un film militant les droits humains. 

On trouve ce film chez Kino, magnifiquement rendu, comme toujours !

 Gunnar Tolnæs

mercredi 1 décembre 2010

Last Flight (The) - William Dieterle - 1931


Richard Barthelmess ...
Cary Lockwood
David Manners ...
Shep Lambert
Johnny Mack Brown ...
Bill Talbot (as John Mack Brown)
Helen Chandler ...
Nikki
Elliott Nugent ...
Francis (as Elliot Nugent)
Walter Byron ...
Frink


76 minutes

La 1ère guerre mondiale est terminée. Quatre amis, dont certains ont été grièvement blessés et dont les nombreuses séquelles sont peu apparentes, se retrouvent à Paris complètement perdus, ne sachant comment vivre. Ils passent leur temps ensemble à faire comme si tout allait bien. Un soir dans un bar ils font la connaissance de Nikky, une jeune femme étrange qui semble elle-même tout autant perdue. Les quatre hommes et Nikky deviennent inséparables ...



Un film avec une ambiance très spéciale où le malaise est palpable malgré les efforts des protagonistes pour avoir l'air normaux. On sent une nette cassure dans tous les personnages, à part celui du journaliste, Frink, qui reste un profiteur dans l'âme. Les amis tentent de donner le change et boivent tout au long du film comme des trous. Tournés vers la mort, ils sont incapables de retrouver un sens à leurs vies et chacun va faire en sorte d'en finir, d'une manière plus ou moins délibérée, à part Cary, qui va retrouver un second souffle avec Nikky. Le tout vous laisse triste face à une impression de gâchis ...
Les acteurs sont tous excellents : à relever la prestation d'Helen Chandler, étonnante, presque immatérielle et comme décalée tout au long de ce film


Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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